Il y a une obligation de la torah d'ecouter les rabanims. Donc la transgression d'une interdiction rabinique est comparable a celle d'une interdiction de la torah. Pourtant ce n'est pas le cas? par exemple dans la cas d'un SAFEQ (doute)?
Les rabbins ont souvent conditionne eux-memes leurs interdictions par ce qu'il n'y ait pas de doute. Sans doute par humilite. D'ailleurs ils ont quelquefois institue des interdictions justement a cause d'un doute lointain, comme par exemple le "stam yenam", de peur qu'il ne soit utilise pour idolatrie.
Quoi qu'il en soit ce sont toujours les rabbins eux-memes qui tranchent si une interdiction est rabbinique ou de la Thorah. Ne sont-ils pas les seuls appropries a decider de la signification halakhique de chaque verset de la Thorah ?
Ainsi, meme lorsque nous accomplissons une mitswa de la Thorah, ce sont aux rabbins que nous obeissons, puisque les rabbins nous ont appris a lire le commendement du verset d'apres la tradition.
En d'autres termes la Thora donne tout pouvir aux rabbins de decider de la halakha, non seulement rabbinique, mais aussi thoraique.