chalom rav,
pour la 25582, quand je l'ai lu une double question (et demi !) m'est revenue :
1) dans les degrés des tsédaka, aussi saugrenu que cela paraisse (peut être maïmonide en parle t-il ?), si de l'argent par exemple nous est tombé de la poche et est récupéré par un nécessiteux cela nous est-il compté comme une tsédaka (à un très bas niveau, peut-être une tsédaka de fait ?!) ?ou cela n'entraine strictement aucune considération ?
2) a)Lorsqu'on donne la tsédaka à un non-juif, est-on quitte de la mitsva (j'avais soutenu que oui à des amis à moi, parce qu'il me semblait clair que e que dit la guemara ne pête pas à confusion : à savoir guittin 61a "nous sommes tenus de nourrir le pauvre non-juif exactement de la même manière que lepauvre juif")?
b)Plus précisément, si l'on sait qu'il y a des nécessités de priorité, qu'on a pu donner la tsédaka à un non-juif et qu'on a pas eu l'occasion ou la possibilité de donner à un juif, cela est-il la mitsva de la tsédaka, ou s'agit-il simplement d'un guemilout 'hassadim quelconque ou peut-être encore une autre mitsva ?
Désolé si je m'étend, merci encore pour le travail que vous faites ! (au fait j'ai lu votre livre il est génial !)
Chalom,
1. Je ne crois pas que l'on puisse être récompensé pour un acte que l'on a fait involontairement, mais sait-on jamais?
2. On doit donner la tsedaka aussi aux non juifs déshérités.