Loi noahides suite.
Suite à la question 29794 .
Votre définition du juste des nations (celui qui préfère faire ce qu'il pense être le bien par rapport à ce qu'il croit être le mal) ne me paraît pas très judicieuse, la définition du bien et du mal étant par essence très subjective (cf le terroriste qui se fait exploser en emportant avec lui le maximum de victimes)
Ce n'est peut-être pas très judicieux mais cela reste vrai. Bien sûr, cela implique que des choix sont faits en connaissance de cause. Le terroriste dont vous parlez sait parfaitement qu'au sein de sa propre mouvance - disons religieuse - il existe des avis contraires et lui il préfère entendre ceux qui appellent au meurtre tout en sachant que le meurtre est mal.
Autrement dit, la haine l'emporte sur le sens moral.
Et le prophète l'a déjà dit : malheur à ceux qui disent du bien que c'est le mal et du mal que c'est le bien...