Reponse à 37511
Je croyais qu'on évitait d'étudier le 9 av des choses qui ne sont pas en rapport avec la fête parceque la Torah réjouit non ?
Autrement, lorsqu'on sort le Sefer, on chante à la sortie du Sefer, on lit des Tehilim de joie et dans la plupart des synagogues, les gens aiment monter et lire la Torah.
Merci
C’est l’étude de la Tora qui est considérée comme une source de joie, et qui est écartée par conséquent de nos activités le jour du 9 av.
Sa lecture à la synagogue, en revanche, y compris celle de ce jour de jeûne, ne fait qu’entretenir le lien qui nous rattache à la circonstance, heureuse ou malheureuse, propre au jour en question.
Quant aux manifestations de joie qui entourent cette lecture, elles ne la caractérisent pas, mais elles ne font que l’entourer, de sorte que l’on s’en dispense le 9 av.