Chalom
A la question 49150
J'ai moi-même avorté et la souffrance n'est-elle pas là une manière d'entreprendre la Teshouva ? Le regret, les promesses de ne plus recommencer, ...
Pour ma part, je n'avais que 16ans et j'ai subi la pression ça a été très difficile à vivre, aussi bien avant que après (car après on est seule à pleurer !).
Il m'a fallu du temps pour affronter ces souffrances et cesser de me ronger.
Il m'a fallu le considérer comme un "bébé-ange".
Avorter, c'est sentir son ventre vide, c'est sentir le poids de l'absence...
Ces hommes qui remettent le poids de la culpabilité sur une femme qui a déjà fait Teshouva, savent-ils au juste ce que c'est que d'avoir de telles sensations (le ventre vide) ?
Je vous remercie d’avoir évoqué sur le site cheela.org votre douloureuse expérience.