Chalom
Suite à la question sur les Marranes n°50921
Je suis de l'avis du Rabbin, nous ne sommes pas habilités à les juger.
Toutefois, je peux sûrement me tromper, mais peut-on réellement parler de "conversion" (qui pourrait être considérés comme un reniement de son identité juive) alors qu'ils continuaient à pratiquer et à étudier dans un cercle fermé, au sein même de la famille ?
De plus, il me semble que à cette époque, des Rabbins conseillaient à la communauté d'opter pour la conversion plutôt que de se faire tuer. C'est aussi une manière de continuer à porter la Sainte Torah, de l'enseigner à leurs enfants, ...
Ma question serait donc plus sur la conversion forcée. Est-ce une faute pour un juif, de se convertir à une autre religion pour non seulement sauver sa vie (ce qui est "égoïste") mais aussi et surtout celles de sa descendance, ce qui lui permettrait d'enseigner la Torah à ses enfants (ce qui est, et je peux me tromper, une grande Mitsva ?).
Je vous remercie de ces intéressantes remarques.