Kvod harabanim,
Bravo pour votre site.
A la question 7719 vous rappelé : "On a l'habitude de donner le nom de la mère." lorsqu'on prie pour un malade.
Est-ce un minhag à la fois achkénaze et sépharade? Et quel en est la raison?
KOL TOUV
On a l’habitude, lorsqu’on prie pour un malade, de l’appeler sous son nom suivi de celui de sa mère.
Diverses raisons ont été proposées à l’appui de cet usage, en vigueur dans tous les rites :
En premier lieu, les liens émotionnels entretenus par une mère avec ses enfants sont plus forts que ceux du père.
D’autre part, lorsque David a supplié Hachem de le libérer de ses tourments, il s’est présenté à Lui comme « Ton serviteur, “fils de Ta servante” » (Psaumes 116, 16 – Voir Metsoudath David et Malbim ad loc.), et non comme « fils de Ton serviteur ».