Conversation 14572 - De la legitimite des Kollelim

Anonyme
Dimanche 14 mars 2004 - 23:00

cvod arabanim
on dit "im eine kéma'h eine tora" ="s'il n'ya pas de farine il n'y a pas de torah" , et deplus il est de notre devoir d'apprendre un metier pour pouvoir subvenir à ses besoins materiels et à ceux de sa famille.
1)Dans ce cas comment expliques-t-on l'existance de colel où des gens étudient sans arret , et vivent de la tsédaka?
2)Est-il préférable s'il on veut étudier la thora de finir ses études jusqu'a avoir un diplome(sachant que la durée des études s'allongent de plus en plus) ou peut-on " tout plaquer" pour aller étudier dans une yéchiva sans se soucier de son avenir financier?
Merci d'avance

Rav Elie Kahn z''l
Samedi 14 août 2004 - 23:00

Que certains consacrent leur vie à la Tora et à son étude et enseignement est souhaitable, impératif même pour l'avenir du Peuple Juif.
Faire de l'étude une règle générale pour toute une société, qui vit aux dépens des autres, cela est du h'iloul hachem. Je n'ose pas employer les mots qu'utilise le Rambam pour décrire cela.