simsim
dim 28/10/2007 - 23:00
Shalom,
Dans le traité de SOUCCOT, si mes souvenir sont exacts, on dit qu'une mitswa qui vient d'une avera est une avera.
En est il de même pour une Berakha ? Comme par exemple : une personne qui mange un fruit de la Chemita en faisant la Berakha ou une personne qui beni un mariage non reconnu par la Hala'ha ? Doit on répondre ou non a cette Berakha ?
Merci
Rav Malko Souffir
Une berekha dite sur un interdit est une berakha levatala a laquelle on ne doit donc pas rpondre amen.
nb: les fruits de la chemita ne sont pas interdits, les legumes peuvent l etre.