Conversation 41574 - Savoir se garder de tout engouement
suite à la question 41564 et à toutes celles du meme style.
je me permets tres respectueusement de pousser un coup de colere et d'etonnement. tous les ans à l'approche de pessah' on nous sort de nouvelles obligations plus bizarres les une que les autres concernant les produits non alimentaires. à quand le papier toilette cacher lapessah'. pardonnez moi, mais il est deja tres difficile tant religieusement que economiquement d'etre juif toute l'année et plus particulierement au moment des fetes, pourquoi nous culpabiliser avec de nouvelles pseudo-nouveautés obligatoires qui si elles ne sont pas respectées vous condamneraient à l'excommunication presque !
pitie, nous essayons deja d'etre de bons juifs avec les mitvoth que respectaient nos peres, est il utile d'en rajouter d'autres qui n'en sont que pour ceux qui veulent faire " l'embellissement de la mitsvah " et vous donnent volontairement ou involontairement le sentiment de ne rien faire bien. et malheureusement, il est quelques juifs qui se decouragent devant tout ce que je serais tentée de qualifier sous le coup de l'exaperation de chichis orgueilleux.
un peu comme cette pauvre fiancée qui s'est vu prescrire par la balanith de se tremper 17 fois parce que c'etait soit disant mitsvah obligatoire pour assurer son chalom baït et sa fecondité. la malheureuse manqua se noyer, et n'eut presque plus de souffle pour prononcer sa berah'a.
on pourrait rire de bon coeur de ce qui devient, ici, de la superstition et du mercantilisme en ce qui concerne le cacher lepesssah', mais nos coeur de fideles à nos traditions et observances, et nos portes monnaies qui ne sont pas magiques nous gercent les levres. pratiquer devient douloureux.
à quand l'oxygene en bouteille cacher lepesssah' pour etre sur qu'il ne vehicule pas des particules de h'ametz ? oh ! j'aurais du me taire, je vais leur donner des idées :
resepctueusemnt
rah'el l'insurgée.
Il est certain que la période de Pessa‘h favorise l’appât du gain chez certains industriels et certains commerçants de l’alimentation.
C’est ainsi qu’on a pu lire récemment dans la presse qu’une des grandes entreprises israéliennes a lancé, cette année, deux cents nouveaux produits cachères le-Pessa‘h.
Peut-être est-ce pour résister à cette tendance que l’on trouve des gens, notamment dans les milieux hassidiques, dont l’alimentation pendant la durée de la fête consiste essentiellement en des pommes de terre.
Sans aller jusqu’à cet extrême, il convient en tout cas raison garder et se préserver de tout engouement pour des achats non indispensables.
L’embellissement de la mitswa ne passe pas par les produits que l’on achète, mais par l’état d’esprit que l’on investit dans son accomplissement.